Ils travaillaient sur ces oiseaux pour avoir leur propre oiseau qu’ils surnomment le canari marocain flawta. ĭans leurs élevages, les amateurs marocains des canaris se basaient surtout sur le canari malinois qui provient de Belgique et autres canaris. Les rencontres se faisaient aussi chez certains marchands d’oiseaux, tels que Michel, Baba Ahmed de Bab Marrakech à Casablanca, SCODROU qui était à cette époque un directeur d’une école, où encore chez une Israélienne qui importait des malinois belges. Įn l’absence d’associations qui pouvaient jouer le rôle d’intermédiaire entre les éleveurs, les rencontres se faisaient à l’époque à tour de rôle dans les domiciles des éleveurs nationaux et étrangers. Parmi eux, on peut citer Mrs: Ben Aouda et Jaabak de Tétouan, Moulay Ahmed de Fès, Essadgui El Mekki de Rabat, Hammoud de Salé, Larbi Lahraoui de Casablanca, Essaila Mohamed qui n’était qu’un jeune garçon, M’Hammed le cycliste, Bel El Maati, Jilali, des Belges et des Français et enfin Ben Bouaazza qui a remporté le premier prix en imposant le canari de couleur argenté aux magasins galerie La Fayette en 1950. Au Maroc, comme tous les pays qui s’intéressent à l’ornithologie, l’aviculture trouve son origine chez certains amateurs qui ont fait d’elle un domaine où interviennent plusieurs passionnés de ce genre d’animaux familiers.Ĭ’est par leurs propres efforts qu’ils ont développé des techniques consistant à améliorer le chant, les couleurs … Les années trente, quarante et cinquante ont vu apparaître les initiateurs de cette culture.
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